Cette journée est également l’occasion de rappeler la fragilité des acquis en matière de droits des femmes et de faire valoir l’importance de l’égalité, encore loin d’être acquise.

La FPJQ, par l’entremise de son président Michaël Nguyen, tient à rappeler que le travail pour enrayer l’intimidation et le harcèlement dans le milieu journalistique, affectant la grande majorité des femmes qui pratiquent le métier, doit s’accélérer à tous les niveaux de la société. « En cette journée internationale du droit des femmes, soulignons la force de toutes les journalistes qui doivent malheureusement subir du harcèlement et de la violence sur les réseaux sociaux. Les comportements doivent changer, afin de se rapprocher un peu plus de l'égalité. »

 « Nous reconnaissons aussi le travail immense accompli par les journalistes féminines qui, malgré les menaces et l'intimidation subies parce qu'elles sont femmes, persévèrent et mettent au jour d'importantes histoires qui changent la société, et qui, avec leurs perspectives et expériences, bonifient la qualité de l'information au Québec et ailleurs », a ajouté Stéphanie Marin, administratrice et secrétaire au conseil d’administration de la FPJQ.