« La Fédération perçoit comme une forme de chantage économique la décision de Meta qui refuse de se plier à une loi canadienne légitime, a indiqué Éric-Pierre Champagne, vice-président de la FPJQ. Les géants du Web accaparent 80% des revenus publicitaires numériques, ce qui s’apparente à une situation de monopole. Dans un contexte de propagation des fausses nouvelles sur ces réseaux sociaux, la disparition des médias sera catastrophique pour la société en général et la démocratie. Nous souhaitons que Meta agisse en bon citoyen corporatif et que l’entreprise américaine revienne à la table pour discuter avec Ottawa », a demandé M. Champagne.

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Écoutez l'entrevue du vice-président de la FPJQ Éric-Pierre Champagne lors de l'émission matinale « Première heure » diffusée à la radio d’ICI Radio-Canada (l'extrait de l'entretien débute à 8h32).

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