Le texte a été initialement publié sur le site de The Conversation
Par Patrick White
Professeur de journalisme, responsable du programme de journalisme à l'UQAM et membre de la FPJQ
La couverture des campagnes électorales se planifie souvent des mois à l’avance en raison des coûts astronomiques qu’elles entraînent. Ce sont les Jeux olympiques de la politique.
Que ce soit au fédéral, ou au Québec, les territoires à couvrir sont immenses pour les médias et nécessitent des avions et des autobus nolisés par les partis politiques. Et les médias paient les frais. Et on parle de gros sous ici.