Prises de position de la FPJQ

La Fédération professionnelle des journalistes du Québec défend la liberté de presse et le droit public à l’information. Elle intervient chaque fois que la liberté de presse est menacée. Elle fait entendre la voix des journalistes partout où c’est nécessaire, dans les commissions parlementaires, devant le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC), dans les conseils municipaux, auprès des juges, de la police et des organismes publics dont les politiques de communication entravent le travail des journalistes.

« La FPJQ s’est battue pour la liberté de la presse. Elle est derrière nous tous les jours. Et elle doit le demeurer. C’est pour ça que j’ai ma carte. »

Antoine Trépanier

Journaliste à Radio-Canada Ottawa/Gatineau, arrêté le 13 mars 2018 pour harcèlement criminel alors qu'il tentait d’obtenir une entrevue avec une intervenante.


Voici les prises de position de la FPJQ.

La FPJQ dénonce les agissements de Maxime Bernier

Articles - Image d'intro

La FPJQ joint sa voix à l’Association canadienne des journalistes pour dénoncer les agissements du chef du Parti populaire du Canada, Maxime Bernier, qui a relayé les coordonnées de journalistes sur Twitter.

Nous tenons à rappeler que les journalistes ont un travail à effectuer et qu'il existe des mécanismes pour se plaindre de leur travail. L'intimidation et l'incitation à la haine ne doivent en aucun cas être tolérées, il en va de la sécurité des professionnels de l'information.

Consulter l'article de la Presse canadienne dans La Presse :

Twitter supprime une publication de Maxime Bernier

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