Le président de la FPJQ a déploré, mercredi, que le journal 24 Heures doive passer par le processus d’accès à l’information pour obtenir les ordres du jour et les procès-verbaux d’exo, un organisme qui gère les transports collectifs dans la région métropolitaine.
Pour Stéphane Giroux, la situation est représentative de la « culture du secret » présente dans les institutions publiques au Québec.
« Les organismes se doivent d’être transparents, parce qu’on vit en démocratie, a-t-il rappelé en entrevue au 24 Heures. Une société doit respecter la loi et l’esprit de la loi, surtout quand c’est une société qui gère des fonds publics. Les journalistes sont là pour s’assurer que cet argent-là est dépensé comme il se doit. Pour ça, ils ont besoin des documents administratifs dans des délais raisonnables. »